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13 mai 2011 5 13 /05 /mai /2011 08:15

8 Hybridation 

 

 

  Calcémie Alvéolaire

Convulsion Capillaire

 

Catarrhe Discordante

    Dyscrasie Sanglante

 

Eczéma  Transitoire

Escarre Aléatoire

 

Infection Ulcéreuse

Clairance Adipeuse

 

Exanthème Insipide

Asthénie Morbide

 

Cytoplasme Bacillaire

Arythmie Glandulaire

 

Convulsion  Cétonique

Dermatose Thrombotique

 

Infarctus  Neuronal

Ischémie Proximale

 

Psoriasis Mutagène

Angor Immunogène

 

Erythème Purulente

Xérostomie Latente

 

Immunité Aqueuse

Gastrite Contagieuse

 

Distorsion Ovoïde

Arthrose Scaphoïde

 

Dyskinésie Primaire

Œdème  leucocytaire

 

Protéolyse  Sérique

Nécrose mycologique

 

Dislocation somatique

    Sténose idiopathique

 

Coma Hypertrophique

Epithélium Névrotique

 

Crevasse Bilatérale

Coagulum Cérébrale

 

Emphysème Lactogène

Hormone Collagène

 

Collapsus Exutoire

Céphalée Rotatoire

 

Arthralgie Granuleuse

Ecchymose Infectieuse

 

Glycémie ichtyoïde

Diagnostic Androïde

 

 

Sclérose Immunitaire

Métabolisme Larvaire

 

Fibrose Structurale

Cyanose Abdominal

 

Mélanome Antigène

Chromosome Exogène

 

Gingivite Séreuse

Embolie Tubuleuse

 

Dépression Colloïde

Condylome Fétide

 

Diplopie Coronaire

Dysurie Tubulaire

 

    Exsudat Digitale

Ganglion Fémoral

 

Hernie Pathogène

Léthargie Photogène

 

Congestion Fulgurante

Cruralgie Irritante

 

Convulsion Opératoire

Fistule Ambulatoire

 

Lactescente Bileuse

Antalgie Spongieuse

 

Gangrène Rhumatoïde

Tuméfaction  Rigide

 

Déficience Oculaire

Asthénie  Tissulaire

 

 

 La musique est plus importante que les paroles….Désolé pour les hypochondriaques

 

 

 

 

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12 mai 2011 4 12 /05 /mai /2011 09:22

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Une fleur

Un coquelicot, un peu froissé, fragile, éphémère mais qui pousse  en liberté

Une chanson

« Les passantes » de Georges Brassens.

« Je veux dédier ce poème, à toutes les femmes qu’on aime, pendant quelques instants secrets,… »

Un sport

Le Rugby …un peu pratiqué dans ma jeunesse mais surtout pour la beauté, la générosité et l'intelligence de ce jeu athlétique

Un objet

Une loupe objet de la curiosité par excellence

Une citation

« Devant la misère, j’ai honte même de l’existence de la musique »  Emil  Cioran

Un proverbe

« Il faut savoir ne servir à rien en être heureux qu’en même »  Proverbe bouddhiste

Une pâtisserie

Une patate, de la pomme de terre elle en a l'aspect général mais en la croquant, la patte d'amandes parfumée ne supporte plus aucune comparaison…un vrai bonheur

Un film

Film D'Almodovar surement…pourquoi pas « Volver »

Un instrument de musique

La guitare…tant pratiquée avec si peu de talent mais tellement de bons moments de détente

Un outil

Miroir  articulé flexible pour aller voir dans les coins difficiles d’accès

Un lieu

Le pont de Brooklyn Pour le panorama mais aussi sa structure si photogénique.

Un livre

Le cheval d'orgueil de Pierre Jakès Hélias racontant sa jeunesse en pays bigouden. Une forte culture régionale face au centralisme Parisien au moment de l’application de l’école laïque et obligatoire de Jules Ferry.

Une poésie

A une passante de Baudelaire "...Ô toi que j'eusse aimée, ô toi qui le savais !"

Une découverte scientifique

Je suis tenté de dire la brouette mais il faut me rendre à l'évidence la roue est la découverte la plus fondamentale

L’explorateur

Magellan celui qui a exploré tant de fausses voies avec obstination et qui a trouvé la preuve de son hypothèse en découvrant le passage de l’atlantique vers le pacifique.

Un système politique

Il reste à mettre en place après avoir nationalisées les banques, rétablir les services publiques, limiter les écarts de revenus de 1 à 8, limiter toute une carrière politique à deux mandats….

 Mais surtout ne plus avoir recours à la charité pour se charger de missions sanitaires et humanitaires. Prendre en charge le sida, les restos du cœur et le téléthon …. et organiser une quête pour ceux qui veulent donner pour l'armée 

Une couleur

Bleu, bleu du ciel et de la mer, mais aussi parce qu'une porte doit toujours être ouverte ou bleue

Un homme politique

Ambroise Croizat comme ministre des travailleurs qui en vingt huit mois met en place la sécurité sociale

Un fruit

Une pomme…à croquer, en tarte, en compote, …ou en cidre

Un plat cuisiné

Le kig ha farz  sorte de pot au feu Breton mais avec une farce constituée de farine de Sarrasin d'œufs …et de secrets de famille et cuite dans le bouillon à l'intérieur d'un sac de toile.

Une friandise

Le chocolat noir, éventuellement avec noisettes ou amandes.

Une danse

La Dans Tro Plinn, danse du centre Bretagne faisant partie de danses de l’aire neuve pour préparer l’aire de battage des moissons ou la terre battue du sol de la cuisine.

Un oiseau

Bécasseau Sanderling, petit coureur très vif dans les vagues, qui s'envole en nuées

Une expression populaire

Y a du mou dans le manche

Une blague

Combien font six fois sept…Karembeu    ou encore… quelle est la différence entre une clé à mollette.

Une vedette de cinéma

E.T.  …il parait que j’ai las mêmes yeux.

Une ville

Barcelone  avec ses couleurs et ses odeurs particulièrement du marché de la Bocqueria

Un animal

Un crapaud bien sur ! Je n'ai jamais entendu plus joli mot d'amour

 

images[10] 

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11 mai 2011 3 11 /05 /mai /2011 11:45

52812953[1] 

 

Ensemble, ils ont vécus de nombreuses d’années.

Enfin,  Ensemble n’est pas le terme le plus approprié,

Côte à côte est  l’expression qui conviendrait le mieux.

Pourtant ils ont eu des projets communs dans la vie,

Mais sans un véritable esprit de vie commune.

Ils  s’en étaient si peu parlé, tout semblant aller de soi.

En fait, ils n’écoutaient que ce qu’ils avaient envie d’entendre.

Il ne le comprit que bien plus tard, bien trop tard.

En fait leurs idées étaient bien différentes,

Les projets semblaient se confondre,

Mais les motivations étaient trop éloignées.

Cette réalité s’est cachée à leurs yeux trop longtemps.

Elle avait décidé une fois pour toute

Que le bonheur ne faisait pas partie de ses ambitions.

Elle ne  s’en accordait  pas le droit,

Sans doute un lourd héritage de famille.

Ce fardeau l’écrase  encore aujourd’hui.

Son univers semblait presque trop parfait,

Une image de femme irréprochable,

Une mère modèle toujours disponible pour les siens,

Son cocon ne supportait ni la poussière, ni le désordre.

Mais plus encore, tous sentiments devaient être contrôlés,

 Et tous épanchements émotionnels à jamais prohibés.

Difficile de vivre pleinement avec de tels interdits.

Comme  une obsession digne de l’Accroche cœur.

Elle n’accepta jamais de parler de ses angoisses,

Par un strict respect trop de son modèle de vie,

Aucune place n’était faite aux émotions,

Poussant à l’extrême cette aliénation.

L’affection allait de soi surtout sans l’exprimer,

Et la tendresse n’était que subliminale,

Hors de question de lâcher prise.

Pour elle, le monde n’était qu’une menace,

Elle ne croyait pas en ses propres forces pour l’affronter.

Lui aussi avait cette trop grande aptitude au mutisme,

Mais la vie a choisi de lui ouvrir les yeux.

Sourde à tous ses appels,

Elle ne s‘est pas accorder le droit d’en bénéficier.

Pour elle, il est surement trop tard,

Son carcan lui sert de soutien indéfectible.

Il n’est pas toujours facile de comprendre

Que  chacun possède son droit au bonheur,

Il est là, il faut le prendre.

S’en gorger, s’en gaver mais aussi le partager.

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10 mai 2011 2 10 /05 /mai /2011 09:31

 

coquillages 

 

Coquillage oublié, 

Fragile sur le sable

Son  contour régulier

Ses couleurs agréables

 

Porté par la marée

Avec le goémon

La mer retirée

A posé ses jalons

 

Les petits bécasseaux

Dans ces laisses de mer

Comme tous les oiseaux

Picorent quelques vers

 

Mais cette coque vide

Sur cette plage humide

Attire les enfants

Et fascine les grands

 

Recueillis sur le bord

Ces petits  bimbelots

Gardés comme un trésor

Deviennent des  joyaux

 

Sertis  autour du cou

D’une mère esbaudie 

Transformé en bijou

Par l’enfant épanoui

 

Ou porté à l’oreille

Pour entendre les flots

Et trouver le sommeil

En rêvant de bateaux

 

 

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9 mai 2011 1 09 /05 /mai /2011 08:09

7 Tourments arborescents 

 

J’ai toujours eu une fascination pour les arbres sous toutes les formes.  En cours, je griffonnais sans cesse machinalement, au final les branchages avaient envahit la feuille.

 C’est un exercice de dichotomie qui n’a jamais de fin. A chaque fois, deux choix possibles, un peu comme les décisions que l’on doit prendre en permanence et à tous propos dans la vie.

A bien y réfléchir, chaque extrémité est le fruit de multiples choix positifs. Pour une de ces extrémités, tant d’autres possibilités inexplorées. Notre existence, de la même façon, représente une immensité de voies que nous avons décidé d’ignorer.

 

 Pourquoi  n’ai-je jamais pensé y mettre des feuilles ?

 Un peu comme si dans mon esprit je vivais un hiver éternel.

Plus tard, j’ai poursuivi en  tortillant des fils de fer. En fonction de la taille des fils, ces arbres ont pris toutes les tailles depuis quelques jusqu’à un mètre.  Sortes de Bonsaï qui ne nécessitent ni taille ni arrosage. Je passais tant de temps à tournicoter que j’ai même fini par déclencher des tendinites au coude ou à l’épaule.  

 

Par la suite, ces arbustes se sont intégrés dans des décors toujours métalliques et reflétant toujours des atmosphères assez lugubres. Un rayon de soleil ou l’éclairage d’une lampe et l’ombre portée sur le mur crée un univers fantastique.    

Autour de moi, j’ai constaté que la symbolique de l’arbre était très forte même dans ces représentations aussi austères et froides.

Symbole de la vie, de la connaissance sortant du chaos et de la spiritualité dans l’élévation de l’âme de la sagesse, de la verticalité de l’homme       Il réunit tous les éléments : Terre, eau, air et même le feu. C’est aussi l’image d’une éternité par une renaissance perpétuelle, pour cette raison l’arbre a aussi exprimé la fertilité.

Chez les celtes, il représentait une liaison avec l’autre monde. Les plus vénérés étaient le chêne et le pommier. L’île d’Avalon n’est elle pas aussi appelée l’île aux pommiers ?

Aujourd’hui mes matériaux ont changés mais l’idée d’arborescence est toujours présente.

C’est grave docteur ?

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8 mai 2011 7 08 /05 /mai /2011 10:24

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Par un regard croisé

Vibrant de solitude

La tendresse esquissée

Clame  sa plénitude

 

Profondeur de l'instant

D'une liberté fugace

Ce partage émouvant

Me consume et me glace

 

La conscience engourdie

Et l’esprit ébloui,

Tout reste suspendu.

  Fait fondre  la magie.

Mais une nostalgie

A nouveau seul, perdu.

 

Pour répondre à la proposition de Suzâme Blog de Nanterre PoéVie > Fleur bleue, cœur d'artichaut et amour printanière...

http://suzame-ecriture.over-blog.

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7 mai 2011 6 07 /05 /mai /2011 11:01

article anglais 

 

Non je n’étais pas désespéré mais je me posais tout de même des questions. Je suis plutôt du genre attentif et conciliant mais je ne comprends pas toujours les femmes. Même en explorant la question, je dois bien me rendre à l’évidence, je ne suis pas  doué pour traduire tous les messages de l’autre sexe. La lecture du livre « Les hommes viennent de Mars, les femmes de Venus » n’a rien arrangé, je me retrouvais même en désaccord avec John Gray sur certains sujets.

Aujourd’hui cet entrefilet ne  me donne pas plus d’espoir mais tout de même cette explication scientifique très rassurante. L’étude, ici relatée, ouvre ainsi tous les espoirs dans la communication écrite.

La lecture de vos blogs passe par d’autres voies de mon cerveau qui me les rendent parfaitement compréhensibles. Alors si la communication verbale semble compromise, au moins pour réussir à se comprendre, il nous reste l’écriture.

A bientôt de vous lire.

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6 mai 2011 5 06 /05 /mai /2011 11:51

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Comme vous l’avez certainement remarqué, la France est en intense de divorce avec Nicolas Sarkozy. On n’a encore rien dit au petit pour ne pas le traumatiser et  sa famille ne sait pas trop comment le lui annoncer. Rassurez vous, le petit ne restera pas dans le besoin, car c’est nous qui allons payer la pension alimentaire.

 Le mieux serait sans doute une séparation à consentement mutuel. Disons que les torts sont partagés. On n’a pas bien compris ce qu’il voulait faire exactement, en sacrifiant nos acquis sociaux et en détruisant les services publics. Lui n’a pas voulu nous écouté quand on a dit NON au traité de Lisbonne et quand on s’est inquiété pour notre pouvoir d’achat et pour l’augmentation des inégalités.

Comme prévu dans la procédure de résidence alternée, ce week end, c’est nous qui l’avons qui avons la garde du petit. Un voyage au bord de la mer, c’est très bon pour la santé.

Vous connaissez les caprices du petit, toujours à faire son petit chef. Malgré l’été précoce, il ne veut pas que les enfants se baignent et fassent des châteaux de sable. Interdiction de mettre les pieds dans l’eau à un kilomètre et demi de sa parade militaire.

Marine, aviation,… « Allez c’est encore nous qu’on paye !»   

Interdiction de pêche à pieds et de toutes activités nautiques. De toute façon, il n’a pas prévu son maillot de bain, ici c’est un peu trop frais pour lui. Il préfère la méditerranée en été sur le yacht de Bolloré.

Impossible d’approcher de la cérémonie, je n’ai pas les papiers de la bonne couleur et je ne passe pas bien à la télé.

L’année qui vient va être bien longue, on nous en promet bien un autre mais il ne veut pas quitter son jouet (FMI) avec lequel il exporte de la misère sociale dans le monde entier. Par ailleurs il est aussi favorable aux privatisations et au pouvoir de la finance. Pour éviter toutes confusions dans ce commentaire du ni-ni, les idées d'extrème droites n'ont pas leurs places.

 

Mais en attendant….Vous ne voudriez pas accueillir  un peu le petit chez vous ?  

 

 

 

Dessins provenant du "Télégramme de Brest"

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5 mai 2011 4 05 /05 /mai /2011 08:40

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Par un regard croisé

Deux cœurs esseulés

Ont été réunis

 Foudroyés d’euphorie

 

La terre sous leurs pieds

En ce jour a tremblé

Laissant les deux amants

Brusquement hors du temps

 

L'esprit ensorcelé

Et le corps en délire

Ils étaient bouleversés

A ne savoir que dire

 

Un courant de fraîcheur

Qui transporte de joie

Brûlant de l'intérieur

Mais si doux à la fois

 

Dans ce don de la vie

Se trouvant réunis

Par un éclair d'amour

Qui durerai toujours

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4 mai 2011 3 04 /05 /mai /2011 15:01

 

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 Après un séjour en corse

Nous devions embarquer, le soir même, à Bastia

Pour retrouver le port de Marseille,

Notre point de départ du continent.

La journée était clair et le soleil brulant,

Après une dernière promenade

Dans les petites rues de la vieille ville,

Derniers regards sur le vieux port depuis la citadelle ;

Il était temps de rejoindre la place St Nicolas et le port maritime.

Sur le fond  bleu intense de la mer,

Le phare rouge d’entrée du vieux port se détachait nettement.

Devant un tel spectacle, une photo s’imposait.

Je m’apprêtais donc à cette prise de vue

A l’aide d’un téléobjectif, en m’appuyant sur le parapet.

Le temps de bien cadrer l’ensemble,

A ma grande surprise un jeune couple

Déboucha de derrière le phare.

Les amoureux s’y étaient certainement reposés.

Une véritable aubaine pour un photographe,

Car le garçon portait un teeshirt rouge

Et la jeune fille un sac à dos de la même couleur vive.

Toutes ces touches écarlates faisaient écho

A la peinture de la tête du phare,

Indiquant le coté bâbord à l’entrée par la mer.

Selon la phrase mnémotechnique connue des marins

Bacyrouge et Tricovert en entrée de port en bateau

Soit Bâbord,  cylindre rouge à gauche

Et Tribord, conique vert à droite

La photo est ancienne et de qualité moyenne

Mais le souvenir est, pour moi, encore très présent.

 

 

bacy&trico[1] 

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