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12 octobre 2012 5 12 /10 /octobre /2012 07:41

 

Comme disait Edmond de Goncourt

"Un tableau dans un musée entend des opinions plus ridicules que toute autre chose dans le monde."

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A écouter les commentaires des visiteurs dans les expositions artistiques, je suis plutôt d'accord avec cette remarque.

Pas très étonnant car quand on a un marteau dans la tête on ne rêve que de clous

mais n'est-ce pas le propre de la subjectivité de l'art que de susciter toutes sortes d'émotions  

 

 

 

Edmond Huot de Goncourt, né à Nancy le 26 mai 1822 et mort à Champrosay (dans l'Essonne chez Alphonse Daudet) le 16 juillet 1896 est un écrivain Français, fonfdateur de l'académie Goncourt  

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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8 novembre 2011 2 08 /11 /novembre /2011 05:11

2253145629[1]Extraits de la "Petite Philosophie à l'usage des non-philosophes"

 

" Je n'ai pas de solution : mon objectif, ce n'est pas de construire la société de demain, c'est de montrer qu'elle ne doit pas ressembler à celle d'aujourd'hui. "

 

"Il faut prendre conscience de l’apport d’autrui, d’autant plus riche que la différence avec soi-même est plus grande."

 

"Sans imagination il ne pourrait y avoir création."


"Le véritable remède contre le chômage est qu’il n’y ait plus de travail pour personne, mais pour chacun une place dans la société."


"L'oisiveté est, dit-on, la mère de tous les vices, mais l'excès de travail est le père de toutes les soumissions."

 

"Communiquer, c'est mettre en commun ; et mettre en commun, c'est l'acte qui nous constitue. Si l'on estime que cet acte est impossible, on refuse tout projet humain."
 

"Respecter autrui, c'est le considérer comme une partie de soi, ce qui correspond à une évidence si l'on accepte la définition :  Je suis les liens que je tisse avec d'autres. "

  

"Idéalement, tout comportement devrait résulter d'une décision personnelle prise après une analyse lucide. Suivre un exemple, c'est se défausser d'une responsabilité sur un autre. Donner l'exemple en proposant à l'autre de suivre cet exemple, c'est l'encourager à une irresponsabilité. Mieux vaudrait lui demander de mener à son terme sa propre réflexion."

 

"La fraternité a pour résultat de diminuer les inégalités tout en préservant ce qui est précieux dans la différence."

  

"Le véritable remède contre le chômage est qu'il n'y ait plus de travail pour personne, mais pour chacun une place dans la société."

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2 octobre 2011 7 02 /10 /octobre /2011 11:34

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C'est vous qui êtes au cœur de toutes vos relations,

Ce qui ne veut pas dire au centre.

Vous êtes responsable de l’estime, de l’amour et du respect que vous vous portez.

Vous êtes garant aussi, de l’amélioration possible de la qualité de vos relations,
 ce qui ne veut pas dire que vous êtes garant de toute la relation.

Vous avez la charge . . . ou le plaisir votre épanouissement, de votre bonheur.

Ne comptez plus sur l’autre pour vous prendre en charge,

Pour  assurer et combler vos besoins,

Pour apaiser vos désirs ou protéger vos peurs.

Cela viendra aussi mais en plus, en offrande dans l’inespéré de l’imprévisible.

N’attendez pas de l’autre la réponse,

Interrogez plutôt vos questions,

Prolongez vos perceptions au-delà des apparences,

Écoutez votre ressenti et faites ainsi confiance à tout l’inconnu

Et à l’étonnement qui vous habite.

Osez vous définir et marquez sans cesse la différence

Quand l’autre tente de vous définir. . .

À  partir de sa vision, de ses croyances ou de ses peurs à lui.

Expérimentez en créant du réel au-delà de vos certitudes et de vos habitudes.

Vous ne vivez rien que vous ne puissiez affronter,

Vous ne produisez rien que vous ne puissiez résoudre.

Prenez soin de vous réellement, journellement.

Vous êtes extraordinairement unique et exceptionnel

Même si vous l’avez oublié.

Vivez comme si vous étiez seul

Et acceptez de vous relier aux  autres chaque fois que cela est possible

Pour eux, pour vous.

Voyez les autres comme des cadeaux

Et mieux encore comme des présents qui enrichissent votre vie.

La pire des solitudes n’est pas d'être seul,

C’est d'être un compagnon épouvantable pour soi même.

La solitude la plus violente c’est de s’ennuyer

En sa propre compagnie.

Alors n’hésitez plus, soyez un bon compagnon pour vous.

Votre vie vous le rendra bien.

 

                                                                                            Jacques Salomé

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14 juillet 2011 4 14 /07 /juillet /2011 17:51

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 Il faut toujours qu'une porte soit ouverte ou bleue ! 

 

  Pierre Desproges

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3 juillet 2011 7 03 /07 /juillet /2011 12:02

Le coup du lapin, çà doit être terrible chez la girafe.

  Philippe Geluck

   img133

 

Spéciale dédicace pour Le Chaton

http://www.birdsandwildlifes.com/

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2 mai 2011 1 02 /05 /mai /2011 13:20

Georges brassens 

 Dans l'eau de la claire fontaine

Georges Brassens

 

 

Dans l'eau de la claire fontaine

Elle se baignait toute nue
Une saute de vent soudaine
Jeta ses habits dans les nues

En détresse, elle me fit signe
Pour la vêtir, d'aller chercher
Des monceaux de feuilles de vigne
Fleurs de lis ou fleurs d'oranger

Avec des pétales de roses
Un bout de corsage lui fis
La belle n'était pas bien grosse
Une seule rose a suffi

Avec le pampre de la vigne
Un bout de cotillon lui fis
Mais la belle était si petite
Qu'une seule feuille a suffi

Elle me tendit ses bras, ses lèvres
Comme pour me remercier
Je les pris avec tant de fièvre
Qu'ell' fut toute déshabillée

Le jeu dut plaire à l'ingénue
Car, à la fontaine souvent
Ell' s'alla baigner toute nue
En priant Dieu qu'il fit du vent
Qu'il fit du vent...

 

 

Cette chanson fait partie de notre patrimoine. J'ai toujours eu une grande tendresse pour Brassens, j'espère simplement qu'il ne me tient pas trop rigueur de ma façon de le jouer à la guitare.

 

J'ai appris sa mort par le journal télévisé le 29 octobre 1981.

Ce jour là,  Maxime le forestier était en concert, interrogé par un journaliste en direct, il interpréta ensuite cette chanson avec des sanglots dans la voix. C’était à mon sens le plus bel hommage et je me souviens avoir partagé cette émotion sans retenue.   

 

 

 

 

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9 avril 2011 6 09 /04 /avril /2011 10:06
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Au moment où nous voyons remis en cause le socle des conquêtes sociales de la Libération, nous, vétérans des mouvements de Résistance et des forces combattantes de la France Libre (1940-1945), appelons les jeunes générations à faire vivre et retransmettre l’héritage de la Résistance et ses idéaux toujours actuels de démocratie économique, sociale et culturelle.

Soixante ans plus tard, le nazisme est vaincu, grâce au sacrifice de nos frères et sœurs de la Résistance et des nations unies contre la barbarie fasciste. Mais cette menace n’a pas totalement disparu et notre colère contre l’injustice est toujours intacte.

Nous appelons, en conscience, à célébrer l’actualité de la Résistance, non pas au profit de causes partisanes ou instrumentalisées par un quelconque enjeu de pouvoir, mais pour proposer aux générations qui nous succéderont d’accomplir trois gestes humanistes et profondément politiques au sens vrai du terme, pour que la flamme de la Résistance ne s’éteigne jamais :

Nous appelons d’abord les éducateurs, les mouvements sociaux, les collectivités publiques, les créateurs, les citoyens, les exploités, les humiliés, à célébrer ensemble l’anniversaire du programme du Conseil national de la Résistance (C.N.R.) adopté dans la clandestinité le 15 mars 1944 : Sécurité sociale et retraites généralisées, contrôle des " féodalités économiques " , droit à la culture et à l’éducation pour tous, presse délivrée de l’argent et de la corruption, lois sociales ouvrières et agricoles, etc. Comment peut-il manquer aujourd’hui de l’argent pour maintenir et prolonger ces conquêtes sociales, alors que la production de richesses a considérablement augmenté depuis la Libération, période où l’Europe était ruinée ? Les responsables politiques, économiques, intellectuels et l’ensemble de la société ne doivent pas démissionner, ni se laisser impressionner par l’actuelle dictature internationale des marchés financiers qui menace la paix et la démocratie.

Nous appelons ensuite les mouvements, partis, associations, institutions et syndicats héritiers de la Résistance à dépasser les enjeux sectoriels, et à se consacrer en priorité aux causes politiques des injustices et des conflits sociaux, et non plus seulement à leurs conséquences, à définir ensemble un nouveau " Programme de Résistance " pour notre siècle, sachant que le fascisme se nourrit toujours du racisme, de l’intolérance et de la guerre, qui eux-mêmes se nourrissent des injustices sociales.

Nous appelons enfin les enfants, les jeunes, les parents, les anciens et les grands-parents, les éducateurs, les autorités publiques, à une véritable insurrection pacifique contre les moyens de communication de masse qui ne proposent comme horizon pour notre jeunesse que la consommation marchande, le mépris des plus faibles et de la culture, l’amnésie généralisée et la compétition à outrance de tous contre tous. Nous n’acceptons pas que les principaux médias soient désormais contrôlés par des intérêts privés, contrairement au programme du Conseil national de la Résistance et aux ordonnances sur la presse de 1944.

Plus que jamais, à ceux et celles qui feront le siècle qui commence, nous voulons dire avec notre affection : " Créer, c’est résister. Résister, c’est créer ".

Signataires : Lucie Aubrac, Raymond Aubrac, Henri Bartoli, Daniel Cordier, Philippe Dechartre, Georges Guingouin, Stéphane Hessel, Maurice Kriegel-Valrimont, Lise London, Georges Séguy, Germaine Tillion, Jean-Pierre Vernant, Maurice Voutey.

 

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6 avril 2011 3 06 /04 /avril /2011 18:51

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Que n'ai-je un pinceau

Qui puisse peindre les fleurs du prunier

Avec leur parfum !

 

Satomura Shôha

 

,

Japon 1602

 

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21 mars 2011 1 21 /03 /mars /2011 18:24

  13419884[1]

 

 

Il est souvent nécessaire de laisser la place aux maîtres qui nous ont donné l'envie en nous montrant si brillamment le chemin.

 

« Tre an avel hag arm or

E kaver an Enez gaerra

Kollet e noz an envor

Pelloh’ged ma heller skarza

E kalon ar vrummer lor

Tre an avel hag arm or”

 

Pierre Jakes Hélias “D’un monde à l’autre” / “A-berz eur bed all”

Parue aux éditions Ouest France en 1991

 

Entre la mer et le vent

Il y a la plus belle île

Perdue au large des temps

Au-delà du dernier mille,

Dans les brouillards du couchant,

Entre la mer et le vent

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  • : "Venant d’un petit coin de moi même que j’affectionne particulièrement, juste à la lisière de l’âme, lieu secret de mes enchantements passagers" Louis Calaferté
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Texte Libre

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