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11 janvier 2014 6 11 /01 /janvier /2014 06:10

Oiseaux-marins 0205

 

 

J’attire votre attention sur deux nouveaux albums photos que je viens d’ajouter

L’un est consacré aux « Vagues » regroupant les photos prises ces dernières semaines sur le littoral à quelques centaines de mètres de chez moi.

L’autre réunis des images d’ « Oiseaux marins » fréquentant les côtes de la Bretagne sud, exception faite pour deux photos de flamands roses prisent sur les étangs de la presqu’île de Giens la semaine dernière.

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25 janvier 2013 5 25 /01 /janvier /2013 08:14

Comme chaque hiver la cote Bretonne reçoit la visite d'oiseaux migrateurs.

Voici les photos prisent hier sous un grand ciel bleu (Cliquer pour agrandir)

 

Photos--publies-4-2677.JPG bécasseau Sanderling

 

Photos--publies-4 3017 Oie bernache cravant

 

Photos--publies-4-3086---Copie.JPG bécasseau Sanderling

 

Photos--publies-4-3095.JPGbécasseau Sanderling

 

Photos--publies-4-3112---Copie--2-.JPGbécasseau Sanderling

 

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14 mars 2012 3 14 /03 /mars /2012 05:20

Photos--publies-4-4989.JPGGrand oiseau gris, majestueux lorsqu'il est debout au repos. Il possède de longues pattes jaune grisâtre ou grises, un long cou et un grand bec jaune grisâtre en forme de dague. Le dessous, la tête et le cou sont blanchâtres avec une crête noire et des rayures sombres sur le devant du cou et de la poitrine. Le reste du plumage est gris-pigeon.
Les hérons fréquentent n'importe quelle zone humide (marais, cours d'eau, étangs ...) où ils peuvent trouver de la nourriture. Ce peut être de l'eau douce, saumâtre ou salée, dormante ou courante, du moment quelle est peu profonde. Ils peuvent aussi fréquenter les forêts à proximité des eaux.
Photos--publies-4-4980.JPGLe héron cendré peut rester des heures, posé sur une seule patte, complètement inactif s'il n'est pas dérangé. Il enfonce son cou dans les épaules. Sa manière de chasser est particulière. Il chemine lentement et courbé, dans les eaux peu profondes, sans faire de bruit, pointant vers le bas son bec puissant et pointu, prêt à asséner le coup mortel à la proie qui passera à sa portée.
Parfois, il reste immobile dans l'eau, observant le fond devant lui et sur les côtés afin de capturer habilement le moindre poisson qui passe.

Dans son vol il bat lentement des ailes, la tête repliée en arrière et les pattes tendues. Vol lourd mais puissant.
Il s'envole de façon majestueuse. Il plane parfois, surtout avant d'atterrir.

Le héron cendré construit un très grand nid avec des rameaux secs et des branches. Il nidifie en grandes colonies souvent sur un seul arbre.
La femelle dépose de 3 à 5 œufs. L'incubation est assurée alternativement par les deux parents, et dure environ 26 jours.
Ils sont nourris par les deux parents. Incités par les petits coups de bec des jeunes, ils régurgitent la nourriture que les poussins prennent directement dans le bec des adultes.
Photos--publies-4 4965
Le héron cendré se nourrit essentiellement de poisson, d'anguilles, de batraciens. Il peut aussi se nourrir de petits rongeurs, d'insectes, de crustacés et de reptiles. Il pêche les poissons à l'affût, parfaitement immobile. A la vitesse de l'éclair, son cou se détend et son bec en forme de poignard transperce la victime. Leur technique de pêche n'est pas encore très au point et ils feront sans doute plus de peur que de mal aux poissons.
Actuellement, l’espèce se porte très bien grâce à sa protection et à une meilleure gestion de son habitat.

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9 mars 2012 5 09 /03 /mars /2012 05:28

     P1030695.JPG
L'Ibis sacré est de la famille des Threskiornithidae qui comprend les ibis et les spatules. Il vit en Afrique sub-saharienne, en Irak et autrefois en Egypte, où il était vénéré.

La silhouette de l'ibis sacré est typique en vol : corps paraissant presque entièrement blanc, longues pattes et cou allongés, long bec recourbé, larges ailes. Les battements d'ailes sont amples, rapides et effectués en alternance avec des planés.

Il a été introduit involontairement en France depuis le début des années 90. Des populations échappées de captivité (Parc de Branféré, dans le Morbihan) de cet oiseau sont présentes en Bretagne, notamment dans le Golfe du Morbihan.

Plusieurs cas de prédation par les Ibis ont été observés sur des colonies d'autres espèces, notamment les Sternes. Dans certaines colonies, un grand nombre de pontes ont été ainsi détruites. Les gestionnaires d’espaces protégés comme le LPO s'accordent aujourd'hui pour "considérer que l’expansion de cette espèce introduite pose un problème de conservation du patrimoine naturel", et qu’une intervention est nécessaire. La prolifération des espèces exotiques envahissantes représente aujourd'hui la seconde cause mondiale de perte de biodiversité après la destruction des habitats.

Bien qu'aucune étude d'impact ne semble avoir été menée sur les 5 000 individus recensés, depuis le mois de mai 2008 une campagne d'éradication a été lancée en Loire Atlantique et dans le Morbihan où ils sont tirés par des agents de l'office national de la chasse.

                                                   P1030704

 

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4 mars 2012 7 04 /03 /mars /2012 04:53

Photos-publiees-3-7113---Copie.JPGLe plus grand des canards en France. La tête et le haut du cou sont verts, le reste du cou blanc. Le bec est rouge, avec une aspérité à la base chez les mâles. Une large bande rousse ceinture la poitrine et le haut du dos. Les ailes sont bigarrées blanc, noir, vert et roux. La queue blanche est maculée de noir à son extrémité. Les Pattes palmées sont roses. Le tout donne un gros canard multicolore visible de loin.

On peut rencontrer le tadorne de Belon le long du littoral où il fréquente surtout les côtes marines plates, sablonneuses ou vaseuses. Mais on peut également l'observer au bord des lacs salés proches des embouchures ou des estuaires. Il affectionne aussi les dunes herbeuses ou plantées d'oyats.
Photos-publiees-3-7414.JPG
La particularité de cette espèce, c'est qu'au cours du mois de juillet elle effectue une migration de mue qui regroupe des adultes nicheurs et des non-reproducteurs. les Tadorne de Belon convergent vers la mer des Wadden (Pays-Bas) profitant de l’abondance d’un petit gastéropode.

 Photos-publiees-3-7472.JPGCes regroupements réunissent sur les bancs de sable plusieurs dizaines de milliers d'individus qui, une fois la mue terminée, regagnent leurs pays d'origine. Les tadornes de Belon sont très sociables.

Le tadorne de Belon se nourrit principalement de mollusques bivalves, de gastéropodes marins et de crustacés qu'il trouve en tamisant la vase avec son bec. Il complète son régime avec des insectes aquatiques qu'il capture sur les dunes et des matières végétales.

Photos-publiees-3 7495 - CopieLe nom « tadorne de Belon » ne provient pas de cette belle rivière Finistèrienne  célèbre pour ses huitres plates mais de Pierre Belon (1517-1564), zoologiste français talentueux de la Renaissance

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23 février 2012 4 23 /02 /février /2012 05:24

Photos-publiees-3-7282---Copie.JPG

C’est l’espèce la plus abondante sur les côtes Bretonnes souvent improprement appelé « mouette »  

La tête, la poitrine, le ventre et la queue sont blancs. Le dos et les ailes sont gris clair. Le bec jaune possède une petite tache rouge. Il est de la famille des Laridés (qui est aussi le nom d’une célèbre danse Bretonne)Photos-publiees-3-4357.JPG

 Le goéland argenté peut être confondu avec le Goéland leucophée, assez semblable mais dont la silhouette plus robuste et dont les pattes sont jaunâtres et que l’on trouve plus volontiers en méditerranée. Autre confusion possible, avec le Goéland cendré nettement plus petit avec un bec sans tache.
Le Goéland argenté pleure, raille. Ces cris sont particulièrement bruyants et prolongés au moment des parades de printemps.

Le français goéland est un emprunt au Breton gwelan ou gouelañ qui désigne effectivement les goélands et qui signifie pleurer.
Abondant, il est en constante augmentation le long des côtes ouest de la France. Il niche sur les falaises littorales, les îles, dans les landes humides parfois même éloignées des côtes, les plages et les dunes et localement sur les bâtiments.
Photos-publiees-3-7281---Copie.JPG
Son alimentation est très variée. Il se nourrit de poissons, de mollusques et crustacés mais aussi de petits mammifères. C’est un prédateur qui peut s’emparer des œufs et des oisillons des autres espèces.

En Bretagne, une personne avec un gros appétit se fait traitée de « Gouel » en faisant référence à la voracité du Goéland.

En hiver il récupère des carcasses animales collectées sur les plages ainsi que les déchets alimentaires dans les décharges publiques.Photos-publiees-3-7197---Copie.JPG

Il est sociable en toutes saisons. La nidification, tout comme la quête de nourriture dans dépôt d’ordures occasionnent de grands rassemblements.

Dicton Breton : Goéland volant bec en avant, signe de mauvais temps.

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10 février 2012 5 10 /02 /février /2012 05:12

Photos-publiees-3-7899.JPG 

  

Encore un bel oiseau de passage qui nous vient du grand nord. Il est arrivé plus tard cette année avec cet hiver qui a commencé en douceur.

 

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La bernache cravant est une petite oie. La poitrine, la tête et le cou sont noirs, avec une petite tache blanche de chaque côté. Le ventre est gris, le bec et les pattes palmées sont noirs.

 Photos-publiees-3-7782---Copie.JPG        
En été, elle fréquente la toundra à proximité des côtes ou des lacs : Sibérie, Alaska, Canada, Groenland, Spitzberg.  

En hiver, elle privilégie les vasières proches des rivages dégagés.

Elle arrive sur les côtes Bretonnes en même temps que le froid, avec la douceur du début d’hier sa venue fût plus tardive.
                                            Photos-publiees-3-7733---Copie.JPG
Son comportement est plus aquatique que les autres oies. Très sociable, son instinct grégaire la pousse à se regrouper.

Le vol est rapide. Les bernaches cravant se déplacent en groupes en formations irrégulières, en longues rangées de front et rarement en V.
Photos-publiees-3-7709.JPG
Le régime est exclusivement végétarien : algues, mousses, salicornes, herbacées.

 Photos-publiees-3-7679.JPG

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6 février 2012 1 06 /02 /février /2012 05:11

Photos-publiees-3-6869.JPGBeaucoup de bécasseaux fréquentent les côtes Bretonnes l’hiver, le plus commun des limicoles européens, est le bécasseau Variable.  

En hiver, son plumage est caractérisé par un contraste entre le dessus gris et le dessous blanc. La poitrine demeure striée.

Il présente un long beclégèrement arqué et une posture voûtée très caractéristique. En vol, il est identifiable à sa barre alaire blanche et à sa queue blanche teintée de noir en son centre.

Pendant la période de nidification, il fréquente la toundra, En hiver, il est présent en grandes bandes sur les côtes et dans les estuaires abrités, les vasières, les prés salés
et les plages de sable. Il fréquente également les marais d’eau douce.

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Le bécasseau variable possède un solide instinct grégaire. A cette période de l'année, les bandes rassemblées en quête de nourriture peuvent être constituées par quelques centaines d'individus.

On le retrouve facilement mêlé à d’autres bécasseaux migrateurs comme le bécasseau Sanderling.  

Photos-publiees-3-6816.JPGAu printemps, se déroule la formation des couples et les mâles commencent à marquer leur territoire en effectuant des vols de parade.

  Photos-publiees-3-6856.JPG

A gauche un bécasseau Variable, le ventre plus coloré, un bec plus long et légèrement courbé et un bécasseau Sanderling à droite, ventre blanc et bec court.

Photos-publiees-3-6803-copie-1.JPG les voici mêlés

Sur ces plages d’hiver ou dans les zones marécageuses, on peut également croiser en Bretagne des bécasseaux Falcinelle, des bécasseaux Maubèche et des Bécasseaux Minute (le plus petit).

 

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31 janvier 2012 2 31 /01 /janvier /2012 05:12

Photos-publiees-3 6703  Autre visiteur des côtes Bretonnes durant l’hiver, le tournepierre à collier possède un plumage bigarré, La tête et le cou sont noirs et blancs, Le dos noir et marron qui contraste avec son ventre blanc présente  un ensemble harmonieux et élégant lors des vols car les ailes et la queue présentent les mêmes teintes.

Ce limicole de petite taille de la famille des bécassins est un petit échassier ventru. Les pattes, sont assez courtes, et d’un rouge orangé.
Photos-publiees-3-6751.JPG
 Sur son site d'hivernage, il affectionne plutôt les rivages rocheux le long des côtes et des estuaires.

Sa migration d’hiver aussi bien peut le porter jusque sur les côtes d’Afrique. En France on  estime la population à 6 000 oiseaux, la plupart résidant en Bretagne.

Il est toujours très actif, on peut l’observer, il court, soulève et retourne des pierres et des morceaux d'algues pour chercher ses aliments, ce qui lui valu son nom. Il capture des mollusques, des petits crustacés et des vers marins.

Il est très sociable et il n’est pas rare de le voir se mêler aux bécasseaux.
A la fin du printemps et en été, ils arrivent à la fin de mai ou au début de juin dans les terres arctiques pour la reproduction sur son site de nidification. Ils occupent en général un endroit déjà occupé les années précédentes.

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28 janvier 2012 6 28 /01 /janvier /2012 05:33

 

Photos-publiees-3 6953

 

Comme chaque hiver, ils sont venus se réfugier sur les plages Bretonnes. Sautillant avec légèreté sur les plages de sable, courant dans les vagues.

Ils se nourrissent en petites bandes à la limite de l'eau, trottinant et picorant dès que la vague se retire avant de remonter vivement lorsque la suivante arrive. Vifs et adroits, ils capturent de petits invertébrés, crustacés, petits vers… en fouillant la couche superficielle du sable.

 

C’est toujours un spectacle magique de les voir avec un bel ensemble suivre le ressac d’un course rapide et saccadée.

 

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Difficile de le approcher au plus près car ils sont très craintifs. A l’approche du danger ils s’éloignent en bande vers la mer avec un vol particulièrement gracieux.

 

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Le bécasseau sanderling est un petit limicole rondelet, son bec est court et droit. En plumage hivernal, il est grisâtre très pâle. L'abdomen, en dessous de la poitrine est d'un blanc pur.

 

 A ce moment de l'année, il peut être confondu avec tous les bécasseaux de petite taille mais qui possèdent une poitrine plus terne et des pattes proportionnellement plus longues.

 

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Au début d’avril, il entame une remontée rapide vers le Nord.

Au printemps et en été, pendant la période de nidification, il quitte les côtes pour la toundra, ou bien le Spitzberg.

Le reste de l'année, ses lieux favoris sont les baies, les pointes sableuses, mais  également à proximité des vasières littorales.
Le sanderling, est principalement un oiseau côtier.

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