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11 février 2012 6 11 /02 /février /2012 05:37

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Une journée maussade dans un petit bourg humide au fin fond de l’Irlande …
Il tombe une pluie battante et les rues sont désertes. Les temps sont durs, le pays est très endetté, tout le monde vit à crédit.
Là-dessus arrive un touriste allemand, riche. Il arrête sa belle voiture devant le seul hôtel de la ville et il entre.
Il pose un billet de 500 Dollars sur le comptoir et demande à voir les chambres disponibles afin d’en choisir une pour la nuit.
Le propriétaire de l’établissement lui donne les clés et lui dit de choisir celle qui lui plaira.
Dès que le touriste a disparu dans l’escalier, l’’hôtelier prend le billet de 500 Dollars,
file chez le boucher voisin et règle la dette qu'il a envers celui-ci.
Le boucher se rend immédiatement chez l'éleveur de porcs à qui il doit 500 Dollars et rembourse sa dette.
L’éleveur à son tour s'empresse de régler sa facture à la coopérative agricole où il se ravitaille en aliments pour le bétail.
Le directeur de la coopérative se précipite au pub régler son ardoise.
Le barman glisse le billet à la prostituée qui lui fournit ses services à crédit déjà depuis un moment.
La fille, qui occupe à crédit les chambres de l’hôtel avec ses clients, court acquitter sa facture chez l’hôtelier.
L’hôtelier pose le billet sur le comptoir là où le touriste l'avait posé auparavant.
Là-dessus le touriste descend l’escalier, annonce qu’il ne trouve pas les chambres à son goût, ramasse son billet et s’en va…
Personne n’a rien produit, personne n’a rien gagné, mais plus personne n'est endetté et le futur semble beaucoup plus prometteur…
C’est ainsi pourraient fonctionner les plans de sauvetage des pays de l’Europe en injectant de l’argent dans l’économie plutôt que dans les coffres des banques…

De la même façon, les états unis auraient été bien inspirés de donner de l’argent aux habitants ruinés plutôt qu’aux banques, car celles –ci auraient finalement encaissé mais au moins les gens auraient payé leurs dettes et gardé leurs maisons.

 

Note : Le billet de 500 dollars n'a pas été imprimé depuis 1946. Le plus gros billet en circulation est le billet de 100 dollars.

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28 janvier 2012 6 28 /01 /janvier /2012 14:47

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19 janvier 2012 4 19 /01 /janvier /2012 05:39

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"Quand François Hollande réunit ses économistes, on trouve dans son entourage, Emmanuel Macron (de la banque Rotschild), Jean -Hervé Lorenzi (également de la banque Rotschild), Stéphane Boujnah (de la banque de Santander), Karine Berger ( de la socièté d'assurance Euler-Hermès)...

Le Monde 09/11/2011

 

 

Léon Blum disait: " Nous sommes les gestionnaires fidèles du capitalisme."

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10 janvier 2012 2 10 /01 /janvier /2012 18:02

36325058 p[1]Le réalisme des propositions se mesure à l’aune des problèmes engendrés par la crise capitaliste et des enjeux correspondant à un projet de société solidaire et écologique. La faisabilité financière des propositions dépend avant tout de l’engagement politique de l’ensemble de la société et de ceux qui la gouvernent. En effet, loin d’être un handicap pour l’économie et l’avenir de la société, l’extension de la sphère non marchande qui va être menée sous l’égide de la puissance publique locale, nationale et européenne, sera réellement productive parce que des ressources humaines et matérielles auront été consacrées à travailler pour créer des biens et services de qualité vraiment utiles. La sphère marchande, mue hier par la seule recherche du profit, va devoir à son tour répondre de plus en plus aux exigences que la démocratie lui dictera.

Résumé

Les sept chantiers de la transition

Pour amorcer la transformation du travail, de l’économie et de la finance sur une mandature de cinq ans.

1. Le travail et les revenus

- Abrogation de toutes les lois sur l’organisation du travail ayant précarisé la condition salariale et refondation du code du travail

- Principe constitutionnel de juste répartition de la richesse

- Nouvelles lois sur le temps de travail et la réduction de la précarité

- Fixation de revenus minimum et maximum acceptables

2. La fiscalité

- Réforme fiscale fondée sur la progressivité avec des assiettes larges ; objectif 100 milliards d’euros de recettes fiscales supplémentaires par an

- Taxation internationale des transactions financières et lutte contre la fraude et l’évasion fiscales

- Budget européen renforcé

- Audit sur les dettes publiques

3. La protection sociale

- Abrogation des réformes sur les retraites et l’assurance maladie passées

- Nouvelle loi sur la protection sociale fondée sur la répartition et la progression des cotisations sociales

4. La monnaie et la finance

- Socialisation de tout le secteur bancaire

- Destruction des structures de spéculation

- Contrôle démocratique de la Banque centrale européenne et de la politique monétaire autorisant la monétisation des déficits publics

5. Les investissements et la politique de développement

- Réhabilitation des services publics

- Déprivatisation des secteurs de l’éducation, de la culture, de la santé, de l’énergie, des transports et de la distribution de l’eau

- Aide à la reconversion écologique de l’agriculture

- Restauration d’une planification démocratique

6. La recherche et les indicateurs de progrès

- Priorité à la recherche publique

- Information économique et sociale tournée vers la qualité

7. Les relations extérieures

- Coopération à la place de la concurrence

- Construction d’une régulation politique mondiale

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9 janvier 2012 1 09 /01 /janvier /2012 17:53

500080-1-.jpgSeptième chantier : les relations extérieures

Au cours des quatre dernières décennies, les relations internationales n’ont été conçues que sur la base des dogmes du libre-échange intégral, de la concurrence féroce et de la captation par les plus riches des ressources des plus pauvres, en particulier les matières premières, la terre et l’eau. Cet ordre a été baptisé «mondialisation » qui, au lieu d’être bénéfique à tous, fut mortifère pour beaucoup. Un programme de transition sociale et écologique en France et en Europe doit être bâti sur un type de relations au reste du monde qui soit coopératif.

Dans ce but, toutes les relations avec le reste du monde seront organisées pour conclure des accords et partenariats respectant les choix de tous, de telle sorte que :

- Les pays du Sud puissent avoir une souveraineté alimentaire, notamment en disposant de leurs terres, trop souvent convoitées par les firmes multinationales ou accaparées par des grands propriétaires.

- Sous l’égide de l’ONU, soient distingués des groupes de pays (par exemple, riches, moyens, émergents, très pauvres) dont les échanges seraient encadrés par des sortes d’écluses : le pays très pauvre peut exporter librement ses produits vers tous les autres, l’émergent vers les moyens et riches mais avec des conditions vers le pauvre, et ainsi de suite. Pour y parvenir, l’Organisation mondiale du commerce doit être radicalement réformée, ses traités actuels dénoncés, et elle sera placée sous l’autorité de l’ONU. Les échanges équitables doivent remplacer les échanges inégaux.

- Toutes les institutions multilatérales (Fonds monétaire international, Banque mondiale…) soient replacées sous l’autorité de l’ONU.

Ainsi, tout ce qui a été nommé jusqu’ici « mondialisation » sera déconstruit pour construire une autre mondialisation qui constituera progressivement une autorité politique tendanciellement mondiale pour assurer une régulation de plus en plus profonde. À la mondialisation du capitalisme, c’est-à-dire des systèmes productifs, financiers et commerciaux, se substituera une universalisation des valeurs humaines et de la résolution politique des contradictions, des tensions et des conflits.

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9 janvier 2012 1 09 /01 /janvier /2012 05:48

f24-1-.gifSixième chantier : la recherche et les indicateurs de progrès

Trop longtemps abandonnée aux laboratoires de recherche privés des grandes entreprises, notamment dans les domaines sensibles que sont les recherches en matière de biologie ou de pharmacie, la recherche publique doit retrouver des moyens humains, techniques et financiers à la hauteur des enjeux du XXIe siècle. Aussi, dans chaque loi de finances annuelle, le budget alloué à la recherche connaîtra une progression au moins égale à celle du budget global.

Pour faciliter la reconversion de l’économie vers des formes de développement soutenable socialement et écologiquement, il est nécessaire de construire de nouveaux indicateurs reflétant une production de qualité et de mieux utiliser les indicateurs mesurant la répartition des revenus, l’accès à la santé, l’éducation, la culture ou bien le respect de l’environnement. Dès lors, toute publication de progrès strictement économique, notamment à travers le PIB, sera accompagnée d’indicateurs plus qualitatifs, concernant la qualité du travail et de l’emploi, la réduction des inégalités en tous domaines, l’état de santé de la population, l’accès à l’éducation et à la culture, la préservation de la biodiversité et de l’environnement en général, etc., car la richesse d’une société ne s’évalue pas seulement avec des critères monétaires.

 

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8 janvier 2012 7 08 /01 /janvier /2012 17:44

altermondialistes-1--1-.jpgCinquième chantier : les investissements et la politique de développement

Tous les projets d’investissements publics vont désormais devoir satisfaire à des critères d’efficacité économique, d’utilité sociale et de soutenabilité écologique. À ce titre, tous les ministères devront intégrer simultanément ces exigences, et ne plus abandonner le social aux ministres du travail ou de la santé et l’écologie au ministre de l’environnement.

Une nouvelle politique industrielle sera impulsée autour de l’innovation et du développement des économies d’énergie, notamment dans le bâtiment, le logement et les transports. La priorité sera donnée au développement des énergies renouvelables pendant que sera conduit le programme de transition pour mettre fin progressivement à l’industrie nucléaire.

Les services publics seront réhabilités et modernisés, en particulier :

- l’éducation nationale sera une priorité : un programme de création de 100 000 postes sur l’espace d’une mandature sera mis en place, accompagné d’une refonte totale de la formation des enseignants et de tout le personnel éducatif ;

- le réseau ferré restera du domaine public et à gestion publique ; les investissements ne seront pas réservés aux grandes lignes mais au contraire répartis de façon à améliorer les dessertes régionales et locales ;

- le secteur de l’énergie sera déprivatisé et ses programmes d’investissements seront rigoureusement contrôlés pour assurer la reconversion énergétique ;

- un service public du logement sera créé, qui veillera notamment au respect de la loi sur les logements sociaux dans les communes.

En matière agricole, trois actions de long terme vont être entreprises :

- pour faciliter l’accès à la terre ;

- pour développer l’agriculture paysanne et l’agriculture biologique ;

- pour réorienter les aides en fonction du respect des critères sociaux et écologiques et de la qualité de la production.

La reconversion de l’appareil productif implique qu’une planification démocratique des grands choix d’avenir soit restaurée. Elle va de pair elle-même avec le maintien dans le cadre de la propriété publique (nationale ou locale) des unités productives des services essentiels tels que l’eau, l’énergie, les infrastructures et les transports collectifs.

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8 janvier 2012 7 08 /01 /janvier /2012 05:40

logoG8-1-.jpgQuatrième chantier : la monnaie et la finance

Afin de retrouver l’usage collectif de la monnaie et de subordonner la finance aux choix de la société, il conviendra de proposer au Parlement ainsi qu’aux partenaires européens :

- la socialisation définitive de l’ensemble du système bancaire, sans indemnisation

des actionnaires, sauf les petits porteurs individuels en de ça d’un certain seuil de portefeuille ; cette socialisation pourra prendre d’autres formes que celle étatique et plus locales ;

- la séparation des banques de dépôts et des banques d’affaires, et la réduction du nombre de licences accordées à ces dernières ;

- l’interdiction des structures et des mécanismes de spéculation : titrisation, produits dérivés, marchés de gré à gré, effet de levier, etc. ; le contrôle de la Bourse sera renforcé pour limiter son champ d’action à la liquidité des titres représentatifs d’actifs réels ;

- l’obligation pour les banques de faire le métier de banque de base : collecte des dépôts en offrant des produits d’épargne simple et peu rémunérés, et politique de prêt tournée vers l’utilité ;

- l’obligation pour toutes les transactions de se dérouler sur des marchés contrôlés ;

- la présence dans les directoires des banques de représentants des usagers, des collectivités locales et des salariés ;

- la pratique de taux d’intérêt différenciés selon le degré d’utilité sociale et écologique des projets d’investissement des entreprises ;

- la promotion de banques de proximité susceptibles de répondre aux besoins locaux et d’être mieux contrôlées démocratiquement ;

- la soumission régulière des orientations de la Banque centrale européenne (BCE) aux décisions et au contrôle du Parlement européen ; les objectifs de politique économique, sociale et environnementale doivent être la feuille de route de la BCE en lieu et place de la lutte exclusive contre l’inflation et du laxisme monétaire vis-à-vis des institutions financières spéculatives ;

- la possibilité pour la BCE de financer monétairement à taux réduit, voire nul, les déficits des États dus à des investissements publics d’avenir et non consécutifs à des largesses fiscales accordées aux riches ou aux sociétés ;

- la limitation des euro-obligations, qui ne pourront désormais être émis que s’ils sont souscrits directement par la BCE et non pas placés sur les marchés financiers ;

- la fixation des taux de change qui doit être enlevée aux marchés, et à titre transitoire, des marges de fluctuations tolérées qui doivent être fixées ;

- les agences de notation seront placées sous tutelle et feront l’objet d’une surveillance étroite pour éviter les conflits d’intérêt.

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7 janvier 2012 6 07 /01 /janvier /2012 17:33

865425_3_95b3_des-cheminots-brandissent-une-banderole-lors-.jpgTroisième chantier : la protection sociale

Le gouvernement devra initier dès les premières semaines un débat dans la société sur les finalités d’une protection sociale et les moyens de les atteindre. Il ouvrira ensuite une négociation avec les syndicats et soumettra des propositions qui respecteront :

- le principe constitutionnel de répartition évoqué précédemment ;

- l’égalité des prélèvements sociaux sur les différents revenus, notamment par la soumission des profits à cotisations sociales ; la suppression des exonérations de cotisations sociales, sauf exceptions et avec contrepartie en termes d’emplois et de conditions d’emploi ;

- le retour de l’âge légal de la retraite à 60 ans et la durée de cotisation réduite à 40 ans avec prise en compte des années d’apprentissage, d’études et de chômage ; la fixation d’un taux de remplacement moyen de 75 %, moindre pour les hauts revenus et pouvant aller jusqu’à 100 % pour les faibles revenus, aucune retraite ne devant être inférieure au SMIC ; des mesures de compensation de la pénibilité du travail, de la précarité, ainsi que des discriminations et des inégalités dont ont été victimes certaines catégories comme les jeunes ou les femmes ;

- le principe du service public rendu dans les hôpitaux auxquels on cessera d’imposer des normes de rentabilité ;

- la réaffirmation du droit à la santé pour tous, sans discrimination aucune ; le rétablissement de l’accès gratuit aux soins, financé par une progression régulière des cotisations au fur et à mesure des besoins, et le déplafonnement des cotisations ; la protection sociale ayant subi un dénigrement systématique depuis le début de l’époque néolibérale, une campagne d’information sera lancée pour montrer l’utilité pour les individus, la société et même l’économie d’un système de santé efficace et accessible à tous, et tordre ainsi le cou au discours selon lequel les entreprises ne doivent pas payer pour la santé de leurs travailleurs.

 

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7 janvier 2012 6 07 /01 /janvier /2012 05:27

Manifestation-16.pngDeuxième chantier : la fiscalité

Il faudra entreprendre la mise à plat de la fiscalité nationale.

D’abord mettre en place une réforme fiscale en profondeur portant sur l’impôt sur le revenu et l’impôt sur le patrimoine, fondée sur le principe de l’égalité de l’impôt sur les revenus du travail et du capital, et sur le principe de la progressivité. La fixation du taux marginal supérieur tiendra compte du niveau du revenu maximum adopté précédemment. Au-delà d’un revenu imposable qui dépassera le revenu maximum acceptable, le taux marginal sera de 100 %. Cette réforme fiscale va en outre définir une assiette des impôts directs la plus large possible. Une éventuelle fusion de l’actuel impôt sur le revenu et de l’actuelle CSG ne pourra être envisagée qu’en accord avec les principes ci-dessus et qu’en pré affectant les ressources destinées d’un côté au budget de l’État et de l’autre à la Sécurité sociale. Le relèvement de l’impôt sur les sociétés sera préparé en collaboration avec les partenaires européens.

Ensuite, une TVA à taux différenciés selon le type de biens et de services va être mise en œuvre en fonction des besoins prioritaires de la population, de la qualité des produits et des impératifs écologiques définis par ailleurs.

Concernant la fiscalité locale, au vu des difficultés rencontrées consécutivement à la décentralisation et à l’attribution de nouvelles tâches aux collectivités locales, une loi de rééquilibrage des recettes et des charges entre les différents niveaux administratifs (État, régions, départements, groupements de communes et communes) va être mise en chantier très rapidement, en concertation avec toutes les parties concernées.

Il faudra supprimer toutes les niches fiscales – sous réserve d’un réexamen complet des aides et exemptions qui s’avèreraient nécessaires. En particulier, les dispositifs dérogatoires comme ceux concernant les PEA, l’assurance-vie, les plus-values, ou les niches dont profitent les sociétés, comme la niche Copé.

L’objectif est de récupérer 50 milliards d’euros de recettes fiscales supplémentaires par an dès l’année 2012 et 100 milliards ensuite en année pleine, indépendamment de la progression des recettes fiscales liée au développement de l’économie.

Enfin, la France devra proposer à ses partenaires européens la mise en place d’un budget et donc d’une fiscalité à la hauteur des enjeux de solidarité entre les peuples aux niveaux de développement encore inégaux, des enjeux de contrôle et de régulation de la finance et des enjeux écologiques mondiaux.

Les propositions vont porter sur :

- une taxe sur toutes les transactions financières, impliquant les pays membres de la zone euro dans leurs relations entre eux, avec les pays de l’Union européenne non membres de la zone euro et avec tous les autres pays ;

- une coordination en matière de lutte contre la fraude et l’évasion  fiscales, le secret bancaire et les paradis fiscaux, avec des procédures de retrait du statut bancaire aux banques contrevenantes ;

- la définition d’un « serpent fiscal européen » fixant les bornes inférieures et supérieures de l’imposition des revenus, des patrimoines ainsi que des profits des sociétés ;

- la mise en place d’un audit sur toutes les dettes publiques, afin de définir la part qu’il sera légitime d’honorer et la part qui, provenant soit de la défiscalisation, soit de la fraude fiscale, soit du sauvetage des spéculateurs, apparaît aujourd’hui comme illégitime.

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